L’angoisse

  1. Accueil
  2. Domaines d’accompagnement
  3. L’angoisse

Ici le rôle pédagogique du sophrologue complète un apport médical qui s'intègre à une démarche d'apprentissage de la gestion de l'angoisse selon une situation ou plusieurs situations vécues.

  • Améliorer la prise en charge globale des clients.
  • Mieux comprendre le processus de l’angoisse, la différencier d’un simple stress.
  • Apporter au client « des outils » pour développer son autonomie dans des situations angoissantes identifiées.
  • Amener le client à trouver ses propres stratégies en fonctions de situations angoissantes vécues.

Vous êtes en recherche de mieux-être, réservé, timide, perfectionniste. Vous cogitez souvent, avez beaucoup de pensées, envahi par les émotions, préoccupé pour tout, anxieux, distant de votre corps, proche du burn-out, en mal d’écoute, hypersensible …
Vous êtes en recherche d’un soulagement, d’outils pour vivre un répit par rapport aux difficultés liées à l’angoisse, recherche d’un apaisement.

Prendre contact
Mon intervention
  • Je construis avec le client un climat bienveillant, rassurant, un « sas de décompression »,
  • J’accompagne le client à comprendre et mieux vivre ses émotions, à penser objectivement pour lui-même,
  • Je guide le client à trouver des stratégies pour mieux-vivre ses troubles de l’anxiété,
  • J’amène le client à utiliser ses ressources positives et développer sa créativité.
Les atouts pour le client
  • Un apaisement mental,
  • Une découverte nouvelle du corps,
  • De la motivation pour avancer pour lui-même,
  • Une libération progressive des ses tensions psychiques et physiques,
  • L’intégration de ses perceptions sensitives,
  • Le développement de la confiance en soi,
  • Une meilleure connaissance et acceptation de ses émotions négatives,
  • Un besoin de s’entrainer aux techniques spécifiques,
  • De l’autonomie dans l’utilisation des techniques spécifiques.

Témoignages clients

Depuis que je fais de la sophrologie j'ai davantage confiance. Je me sens plus en équilibre debout Je crois qu'il y a des progrès. Je me donne les moyens pour faire les choses. Le soir je fais le vide autour de moi et je me relis à mon corps dans mon lit pour m'endormir. Par moment j'y pense à mon accident mais ça va je ne suis plus angoissée

A.S. (85 ans)

Je réalise que c'est impossible de tout contrôler, étrangement j'en ai retiré du positif. J'ai réussi à poser les choses à vivre l'instant présent le jour j. La sophrologie m'a déjà appris à prendre du recul sur soi et à être plus à l'écoute de mon corps. Tous les matins allongé connexion au corps et à la respiration. Je m'autorise à prendre du plaisir. Cette autorisation m'amène vers plus de liberté. Cette valeur ferait que j'attacherai moins d'attention au regard des autres sur moi

K.C. (33 ans)

La sophrologie ça me fait du bien – je suis maintenant à l'écoute de mon corps et l'approche à mon corps a changée. Quand je ne me sens pas bien je vais chercher une image positive ressource. Je prends progressivement ma place et j'apprends à relâcher. Je mets moins de temps à m'endormir et je me sens mieux la nuit si je me réveille.

B. B. (59 ans)

Je contrôle mieux mes craintes et mes angoisses. Je me sens moins envahit par le négatif. Quand je repars après le rendez-vous d'une séance de sophrologie je me sens soulagé car j'ai déposé des trucs. Je suis moins inquiet et en attente sereine par rapport aux examens chez le cardiologue. J'ai pris plus de distance. Je mouline moins les pensées confrontées au vide de mon quotidien. Il y a du changement positif dans mes comportements. J'écoute de la musique et lis avec plaisir et pas que quand je ne vais pas bien. Je me suis recentré sur la littérature. Je vis beaucoup moins de projections négatives. Physiquement j'ai repris confiance et je renage comme avant

J.M. B. (70 ans)